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Voici mes données cristallisées dans la matière en 2020 : le nouvel humain, fusion des corps de l'esprit, du double et du galactique. ...

L’ego en deuil de la notion d’abondance dimensionnelle, fin de l’attachement à la matière / début de l’effondrement

C’est la fin de cette dimension, il n’en restera rien. Il s’agit donc de tout décanter au niveau de la conscience égotique, notamment les fondations de l’économie financière. C’est un peu comme sauter du haut d’un pont sans élastique, on prend une grande respiration et on lâche tout : l’énergie liée à l’argent, les possessions matérielles, le fait de gagner sa vie, les projets pour l’avenir et sa retraite…pffft, envolés !

Pour ma part, depuis le premier confinement covid, je ne travaille plus, je n’en ai plus l’autorisation gouvernementale, donc des impôts et taxes mais plus d’argent qui entre. C’est la fin, vraiment la fin, je le sens dans toutes les fibres de mon être. Je m’aperçois que finalement, plus qu’une réaction face à cet effondrement pourtant tant désiré, je vibre une sorte de deuil face à cette structure quantique qui se délite, qui ne passera pas la porte du nouveau cycle, qui ne peut pas être une fréquence viable pour le nouveau monde.

Cette fréquence qui s’en va, est celle de l’abondance, cette énergie étant elle aussi liée à l’ancien monde : en tant que maître de ma propre conscience, ayant totalement intégré les arcanes de l’abondance énergétique et donc matérielle, j’ai vécu ces dernières années dans une aisance totalement équilibrée : ni trop ni trop peu, j’avais toujours ce dont j’avais envie ou besoin.

Il ne s’agit plus de cela désormais, il me faut aller au-delà même de cette réalité confortable. La notion d’abondance me permet de jouir de la matière au sein d’une dimension physique mais ici, la jouissance n’est plus de mise : JE suis la matière, JE l’incarne, elle n’est plus un espace quantique que j’utilise afin de répondre à des besoins humains.

Ce qui est en jeu ici est exceptionnel : ma fusion avec la matière ! Je ne l’utilise plus dimensionnellement, je l’habite, bien au-delà d’une énergie liée à l’aisance, la profusion, l’opulence…le principe d’abondance est régi par des lois dépassées pour le nouvel humain, quelle surprise !

Rester stable énergétiquement durant la bascule d’une dimension à une autre, va demander à ce que la personnalité soit totalement apaisée et tranquille face à la disparition des ancrages magnétiques de nos sociétés : oui l’économie va s’effondrer pour tous, mais cela ne sera dramatique que pour l’ancienne humanité…le nouvel humain vibre que l’argent, le travail et la doctrine imposant l’abondance comme un aboutissement, ne sont plus son pain quotidien.

Mon témoignage face au deuil de l’abondance : tout d’abord, c’est MOI en tant que cellule originelle qui drive la mise aux normes de ma nouvelle psyché, donc lorsque la conscience égotique s’exprime (peur du manque, peur de demain), cela est VU par MOI et j’écrase aussitôt ces données. Pour cela, je me repositionne dans mon nouveau ventre-coeur-cerveau et je vibre au lieu de penser. Cela me permet d’éteindre automatiquement toute énergie/information de peur ou de colère, la conscience (ou l’ego, c’est la même chose désormais) ne combat plus cet arrimage, au contraire, c’est un peu comme si mon ancienne personnalité consciente demandait à suivre ce protocole de désamorçage. C’est simple, rapide et sans douleur même si cette notion spécifique liée à l’argent et à la matière en générale, me demande encore un recadrage fréquent.

JE vois désormais comme l’énergie/information induisant l’abondance dimensionnelle comme le socle d’existence de l’initié, n’était qu’une étape reposante et passionnante à mettre en œuvre d’un point de vu quantique. Mais le nouvel humain n’a que faire de vivre l’abondance, cette notion n’existe même pas : je suis le grand ordonnateur du vivant, la matière obéit ma loi, elle ne me nourrit plus, je suis sa source.

Lors de ce passage spécifique, chacune de MES individualités verra s’effondrer le protocole quantique ou spirituel de l’abondance. C’est un espace inconfortable pour la conscience qui s’est appuyée sur cette béquille quantique durant une décennie, parfois. Mais ce passage, c’est MOI qui l’effectue en nous, alors je dirais, d’après mon expérience, que finalement, même s’il existe un léger tiraillement d’angoisse face à la perte de ce repère, c’est assez aisé à transcender : ma nouvelle humanité, c’est MOI…et MOI, je sais ce que je suis et où je vais : je ne fonctionne plus à partir de besoins physiques nécessitant un cadre prospère me permettant de survivre, j’incarne un flux vivant qui est partout chez lui

J’ai évoqué ici la crise économique à partir de ma nouvelle capacité à me vibraliser, voici un article qui évoque le même sujet, mais à partir d’une dimension de conscience : Covid-19 : face à la crise économique, le devoir de vigilance

Au-delà de la crise sanitaire, se profile une crise économique mondiale sans précédent. Ouvriers, travailleurs migrants, et de l’économie numérique en paient déjà, le plus lourd tribut. Dans cette tourmente, de quoi les grandes entreprises sont-elles responsables ? Comment repenser une économie plus résiliente et un monde du travail plus respectueux des droits humains ? Pour Swann Bommier, chargé de plaidoyer Régulation des multinationales au CCFD-Terre Solidaire, la loi sur le devoir de vigilance doit servir de boussole. Analyse.

Confrontés à une pandémie mondiale, dotés de moyens sanitaires et hospitaliers trop faibles pour faire face, les États optent, les uns après les autres, pour des mesures de confinement afin de réduire la vitesse de propagation du virus.

Mais ces mesures de confinement entraînent, dans leur sillage, un arrêt de la production et de la consommation de biens et services dans des proportions inédites.

Au-delà de la crise sanitaire se profile donc une crise économique et sociale d’une ampleur inégalée depuis la grande récession : les faillites d’entreprises devraient atteindre des records, et ce sont plus de 70 pays qui devraient entrer en récession.

Si les impacts de cette crise sont mondiaux, ce sont à nouveau les personnes les plus vulnérables et les personnes qui assurent la production des biens et services essentiels qui en paient le plus lourd tribut : les rapports et articles de presse s’accumulent pour décrire la précarité dans laquelle cette crise plonge les ouvriers, les travailleurs migrants et les travailleurs indépendants…

Voici un second article qui décrit le même scénario d’appauvrissement : Coronavirus, la crise a un impact négatif sur les salaires

Une crise économique, ce sont des plans sociaux, des plans de restructuration, le chômage qui augmente, mais pas seulement. Cela a aussi un impact direct sur les salaires.

Pour la première fois depuis plus de dix ans, en 2021, les salaires du privé vont baisser. Pour être précis, ils vont moins augmenter. En moyenne, depuis une dizaine d’années, les salaires du privé augmentent chaque année de 2,5%, ce qui permet notamment aux salariés de ne pas subir les effets de l’inflation.

Mais en 2021, cela va chuter pour toutes les catégories de salarié. « Les entreprises ont été très prudentes en 2020 et elles anticipent une année 2021 assez compliquée. On peut aller dans une fourchette allant de 0,3 d’augmentation de salaires à 2% en 2023, donc un retour à la normale plutôt à horizon deux-trois ans », explique Franck Cheron, associé conseil au cabinet Deloitte.

Le deuxième effet de la crise sur les salaires concerne plutôt les cadres. Leur part variable, qui est alignée sur les objectifs de l’entreprise, risque elle aussi d’être supprimée. Il y aussi les effets indirects : moins de mobilité professionnelle donc moins d’augmentation, les jeunes entrant sur le marché du travail perçoivent un salaire plus bas, les périodes de chômage augmentent.

Les entreprises prévoient un retour à la normale en 2023, mais c’est très variable en fonction des secteurs d’activité. Avec des salaires un peu en berne, l’économie aura du mal à repartir. France Info

Photo puisée sur le net

L’effondrement a commencé. Il est individuel mais il va être répercuté dans le collectif/MOI. L’effondrement, c’est la fin de l’ancienne matrice, même des structures les plus élevées comme celle de l’abondance. Il ne va plus être possible de s’accrocher à quoi que ce soit de tangible, habituel, rassurant. C’est nu jusqu’à l’irradiation que ce passage a lieu…jusqu’à l’atome, jusqu’à la particule. Il faut vraiment tout lâcher, aucun concept de l’ancien monde ne peut tenir…et c’est déstabilisant, pour le moins. Il s’agit réellement de l’effondrement de la dernière ossature psychique restante : le process lié à l’argent, l’ego, la sexualité, le corps, les ilojs…c’est terminé.

Ainsi, concernant cette énergie spécifique, il n’y a pas d’autre choix que l’abandon de la strate d’abondance dimensionnelle que certains d’entre-nous/MOI ont su structurer en ce monde. Même cet équilibre doit disparaître. Le nouvel humain ne se préoccupe pas de ces sujets, il est créateur, pas jouisseur. En tant que cellule originelle, je mets donc ma conscience face à un script qui oblige l’ego à dévoiler sa peur du manque et son attachement aux principes de l’ancien monde : travailler, avoir une activité professionnelle et les revenus qui vont avec…et à ce stade de mutation, la conscience égotique va faire rapidement son deuil de cette strate d’existence et passer à autre chose…sans s’inquiéter de ne pas savoir de quoi il s’agit :)

C’est ici que l’instinct vibratoire prend le pas sur la conscience verbale :) 

Mesnet Joséphau-Charrier

Attention : ces textes sont anciens, ils représentent une réalité momentanée, souvent obsolète quelques années plus tard. Ainsi, parcourir l'ensemble de mes blogs dans un moment présent absolu.  

MOI = JE = nous = cellule originelle

2020